Difficile ce mois-ci de ne pas parler des élections françaises, et ce même si les marchés semblent être moins focalisés sur cette échéance qu’il y a quelques semaines.
A la lecture des différentes publications des bureaux de recherche, il semble que les opérateurs de marchés
assignent à l’élection d’un candidat eurosceptique en France une probabilité d’environ 20 %.
L’impact qu’aurait l’élection d’un candidat favorable à la sortie de la France de la zone euro est difficile à
évaluer, mais il semble hautement probable que cela engendre un fort mouvement de stress sur l’ensemble
des marchés européens. Nous avons de notre côté retenu un scénario selon lequel l’écart entre les taux français et allemand passerait de 65 points de base à 200 points de base, les marchés actions seraient en forte baisse et l’Euro chuterait, lui aussi, violemment.
Ces hypothèses -certes discutables- assumées, la question est de savoir comment limiter l’amplitude de l’impact négatif dans les portefeuilles, tout en conservant une structure d’allocation correctement exposée en cas de non occurrence de ce risque ?
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